RAR - Réseau Agroécologie Rwanda
Réseau Agroécologie Rwanda

CONTRIBUTION AU DÉVELOPPEMENT D’UNE AGRICULTURE RWANDAISE AGROÉCOLOGIQUE ET RÉSILIENTE

Transformer l’agriculture pour assurer la sécurité alimentaire, organiser des agroécosystèmes résilients, contribuer à la séquestration du carbone et à la biodiversité.

Les constats dressés comme le contexte qui ont donné lieu à la naissance de notre association  – franchissement des « limites planétaires », nécessité d’adopter à grande échelle des pratiques agricoles résilientes et respectueuses et/ou régénératrices de l’environnement – nous amènent à soutenir un projet ambitieux, au Rwanda, en faveur de la transition agroécologique telle qu’elle est définie par la FAO et ses partenaires dans le cadre de L’Initiative de passage à l’échelle supérieure de l’agroécologie lancée lors du Deuxième Symposium International sur l’agroécologie, en 2018.

ISI a donc décidé de soutenir le projet Réseau Agroécologie Rwanda, porté par notre partenaire rwandais, le bureau d’études Inter-Culturel

En effet, l’action portée par ce projet correspond  pleinement aux objectifs de notre organisation :

 ✔ faciliter les liens et les échanges entre les personnes, les groupes et les communautés qui, confrontés à des problèmes, ont su inventer des pratiques et des techniques qui ont abouti à des solutions éprouvées ;

✔   contribuer à la reconnaissance de ces solutions ;

✔  permettre leur appropriation par le plus grand nombre, leur adaptation à d’autres contextes et leur changement d’échelle.

Le projet le Réseau Agroécologie Rwanda est présenté ci-dessous.
En fin de page vous trouverez les informations vous permettant de soutenir ce projet ambitieux.


Présentation du projet par Inter-Culturel:

En résumé

Vers une nouvelle révolution agricole!

Relever les immenses défis posés par l’évolution du climat, la dégradation des sols, les difficultés d’accès à l’eau, la baisse anticipée des rendements agricoles… implique de changer les pratiques agricoles, qui contribuent aujourd’hui à la dégradation de notre environnement, pour en adopter d’autres, aussi productives et plus respectueuses du vivant, des cycles de l’eau et du carbone.

Pour cela, les premiers acteurs de cette transition, les paysannes et les paysans, doivent pouvoir s’organiser pour mettre en œuvre une agriculture résiliente qui leur permettra de vivre décemment et de nourrir les populations : se mettre en réseau, apprendre les uns et les unes des autres par le partage des expériences, des techniques et connaissances…

Impliqué dans ce mouvement de promotion de pratiques agro et éco logiques depuis plusieurs années, l’équipe du bureau d’étude rwandais Inter-Culturel propose de mettre ses compétences et son expertise au service des cultivatrices et cultivateurs qui ont choisi de s’engager dans une voie agroécologique en dressant un état des lieux des pratiques en cours au Rwanda et en facilitant la mise en œuvre d’une dynamique d’entraide et d’échange de savoirs et de compétences dans les différentes régions du pays.

Note d’intention

Comme le soulignent les récents rapports du GIEC et du PNUD, la productivité de l’agriculture sera très négativement impactée par le réchauffement et le dérèglement climatiques.

Faire face à cette situation impose une évolution des pratiques de ce secteur vulnérable et vital pour l’humanité. Le défi essentiel de notre époque est de construire une agriculture résiliente, régénérative et productive avec les petits paysans qui  nourrissent aujourd’hui 80 % de la planète.

Cette révolution implique une mobilisation et une nouvelle alliance des savoirs et savoir-faire traditionnels et contemporains ainsi que leur diffusion et partage, tant à l’échelle locale que globale.

En tant que bureau d’étude rwandais, Inter-Culturel a la volonté de participer à ce processus en dressant un état des lieux des pratiques et des initiatives qui contribuent à cette évolution au Rwanda, en capitalisant les expériences menées et en facilitant des échanges entre ses différents acteurs — paysans, organisations paysannes, scientifiques, agronomes, entrepreneurs, institutions et ONG…

Le bureau Inter-Culturel a récemment évalué et documenté une initiative agroécologique impliquant quelque huit milles ménages paysans de la province Sud du Rwanda, deux organisations locales, une ONG internationale et les autorités locales.

Nous souhaitons aujourd’hui trouver les moyens d’étendre notre investigation à l’ensemble de l’espace rwandais.

Le présent dossier argumente la nécessité d’un tel projet et décrit comment il pourrait être mis en œuvre.

Faire face au défis du XXIe siècle

​​Le passage du XXe au XXIe siècle a été marqué par l’affichage d’objectifs humanitaires ambitieux par l’Organisation des Nations Unies.

Avec la « Déclaration du millénaire » adoptée en 2000 à New York, 193 États membres de l’ONU et une vingtaine d’organisations internationales ont convenu d’atteindre une série d’objectifs couvrant les grands enjeux humanitaires : réduction de l’extrême pauvreté et de la mortalité infantile, lutte contre plusieurs épidémies, accès à l’éducation, égalité des sexes et développement durable. Ces « objectifs du millénaire pour le développement » (OMD), « Millennium Development Goals » en anglais, ont été reformulés en 2015 en « Objectifs de développement durable » (ODD ou SDG « Sustainable Development Goals ») et inscrits à l’Agenda 2030.

Dans la même période, les rapports successifs du GIEC ont régulièrement dressé un état des lieux des connaissances scientifiques sur l’évolution du climat terrestre toujours plus inquiétant.

Ils établissent que les pays des zones tropicales et subtropicales seront et ont commencé à être les plus impactés par le réchauffement climatique : augmentation des températures et de la fréquence et de l’intensité d’événements extrêmes (sécheresses, inondations, mégafeux, ouragans…).

La dernière Conférence de Glasgow sur le climat a démontré la réticence des pays riches à assumer leur responsabilité historique et à honorer leur engagement de financer l’adaptation des pays les plus vulnérables aux conséquences inévitables du dérèglement climatique.

Dans ce contexte, les objectifs de développement durable que se sont fixés les grandes institutions de la communauté internationale semblent difficilement atteignables.

L’agriculture au cœur des problématiques du XXIe siècle.

L’agriculture étant dépendante des conditions climatiques, ce secteur économique vital sera la première victime de la dégradation et des aléas climatiques.

La carte ci-dessous montre qu’une baisse significative des rendements agricoles devrait affecter la plupart, sinon toutes les zones tropicales et subtropicales.


Estimation (%) de la baisse des rendements agricoles en 2080. Ahlenius, H. (2009)

Cette projection n’est qu’une hypothèse, mais elle est fortement étayée par différentes études scientifiques. L’inertie des systèmes climatiques couplée à celles des systèmes de décisions politiques en matière de réduction effective des émissions de gaz à effet de serre contraint à la prendre au sérieux et à se demander comment éviter ce scénario catastrophique.

Transformer l’agriculture pour assurer la sécurité alimentaire, organiser des agroécosystèmes résilients, contribuer à la séquestration du carbone et à la biodiversité.

Si l’agriculture est un secteur particulièrement vulnérable au changement climatique, le mode actuel dominant de production des denrées alimentaires est aussi l’une des causes majeures d’émission de gaz à effets de serre, de rupture des cycles de l’eau, de dégradation de l’environnement et de perte de biodiversité.

L’humanité se trouve donc confrontée à la nécessité de repenser son système de production de nourriture et de promouvoir des agrosystèmes productifs, résilients, non destructeurs, mais au contraire régénérateurs des terres agricoles et des écosystèmes.

Une série d’expériences à grande échelle impliquant des centaines de milliers de cultivatrices et cultivateurs sur tous les continents démontre que cet immense défi n’est pas une utopie : en Inde, « l’agriculture naturelle à budget nul » (Zero Budget Natural Farming), en Amérique centrale, le mouvement « Campesino a campesino », pratiques agroforestières en Afrique de l’Est…

Ces expériences ont en commun de favoriser les échanges entre paysans, d’utiliser des intrants organiques disponibles localement et des semences diversifiées adaptées aux contextes locaux…

Elles ne sont que quelques exemples d’un ensemble beaucoup plus vaste de nouvelles pratiques agricoles qui ont été qualifiées d’agroécologiques et dont l’étude la plus systématique, publiée en 2006 par Jules Pretty et coll., portait sur les résultats de 286 projets récents couvrant 37 millions d’hectares dans 57 pays en développement (équivalant à 3 % des terres cultivées de ces pays).

L’agroécologie comme outil pour atteindre les objectifs de développement durable (ODD) et les objectifs du millénaire (ODM) de l’ONU.

L’évaluation des expériences agroécologiques par divers organismes internationaux et l’enquête au long cours sur ces pratiques menées par le rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à l’alimentation, Olivier de Schutter, ont permis que se dégage un consensus au sein d’institutions internationales comme le PNUD, la FAO, et même de l’Union Européenne pour considérer que l’extension des pratiques regroupées sous le nom d’«agroécologie» est un des moyens d’atteindre les objectifs du millénaire pour le développement des Nations Unies, les objectifs et domaines prioritaires de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine en termes de réduction de la pauvreté, de la malnutrition et de préservation de l’environnement…

Par ailleurs, l’agroécologie, reposant sur la maximisation de la biomasse produite et sur la réintroduction des arbres dans les agroécosystèmes, elle peut à la fois restaurer les cycles de l’eau perturbés et concourir à la séquestration du CO2. Elle permet ainsi de limiter fortement la concentration de gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère, alors que l’agro-industrie est aujourd’hui responsable d’environ 30% de leurs émissions. L’extension des pratiques agroécologiques a ainsi été qualifiée de « carbon farming solution ».

La généralisation des pratiques agroécologiques pourrait faire passer l’agriculture du rôle de protagoniste et de victime de la dégradation de la biosphère à celui d’acteur majeur de son aggradation.

On peut même imaginer que les « agri-éco-culteurs » soient dans le futur reconnus pour leur contribution à la séquestration du CO2 et pour leurs externalités positives et qu’ils soient soutenus à ce titre.

Les objectifs du projet

Le présent projet, Réseau Agroécologie Rwanda, s’inscrit dans la dynamique engagée, au niveau mondial, pour favoriser le développement de l’agroécologie, autant pour les effets attendus par l’extension de sa pratique sur l’environnement, la biodiversité et le changement climatique que pour les aspects économiques et sociaux qu’appelle sa mise en œuvre.

Le projet Réseau Agroécologie Rwanda comporte ainsi trois objectifs dont découle la mise en œuvre de plusieurs actions spécifiques. Ces objectifs sont :

1. Recenser les acteurs de l’agroécologie au Rwanda et leurs pratiques ;

2. Constituer un réseau d’entraide et d’échange entre ces acteurs ;

3. Promouvoir l’agroécologie et accompagner les acteurs voulant adopter des pratiques agroécologiques.

Où en est la transition agroécologique au Rwanda ? Quels sont les acteurs engagés dans cette dynamique ?

Le premier objectif du projet Réseau Agroécologie Rwanda est de dresser l’inventaire des différents acteurs engagés dans la transition agroécologique dans leur diversité (paysans, coopératives, ONG, entreprises, agents de l’État…), de rendre compte de leurs pratiques, mais aussi des difficultés rencontrées, des besoins et attentes tout autant que des facteurs ayant permis la réussite de leurs initiatives.

Le premier objectif implique ainsi que soient réalisées les actions suivantes :

– Identifier les acteurs engagés dans la transition agroécologique ;

– Décrire et capitaliser les pratiques et techniques mises en place ;

– Mettre cette capitalisation et un annuaire des acteurs à disposition par la création d’une base documentaire accessible.

Les études les plus récentes montrent que le développement de l’entraide et l’échange d’expériences entre paysans sont deux des conditions de la durabilité et de l’extension des pratiques agroécologiques.

Conjointement à l’identification des acteurs engagés dans cette transition agroécologique et à la capitalisation de leurs pratiques, une dynamique de mise en réseau doit être encouragée.

Elle implique que soient réalisées les actions suivantes :

– Créer et animer des groupes d’échange locaux autour des techniques et pratiques agroécologiques ;

– Encourager l’entraide, la coopération et la mutualisation d’outils.

Enfin, une action de plaidoyer en faveur de l’adoption de pratiques agroécologiques adaptées au contexte rwandais doit être menée, conjointement à un accompagnement des acteurs voulant faire évoluer leurs pratiques :

– Organiser des rencontres et des ateliers entre paysans pratiquant l’agroécologie et des paysans souhaitant changer de pratique et/ou des autorités locales souhaitant appuyer la transition ;

– Promouvoir l’agroécologie par la visite de sites et l’organisation de rencontres et d’ateliers entre paysans et en direction des pouvoirs publics et de la société civile.

Pour atteindre les trois objectifs résumés ci-dessus, le projet Réseau Agroécologie Rwanda place au cœur de son action l’empowerment des personnes dans leur diversité (genre, âge…) et des communautés.

Sa réalisation entend ainsi favoriser le renforcement et le développement :

– des capacités des ménages paysans à développer des techniques agricoles et d’élevage issues de l’agroécologie et adaptées aux petites surfaces d’exploitation pour répondre à leurs besoins (alimentation, scolarisation des enfants, santé, etc…).

– des capacités à organiser, animer, choisir les modalités d’échanges et de coopération adaptés pour l’agriculture et l’élevage (acquisition de semences, gestion de l’eau ou d’un kit vétérinaire, partage d’outils…).

– des capacités des collectifs paysans à être force de propositions pour mener des actions sur leur territoire et à collaborer avec les autres acteurs locaux (écoles, centres de santé, autorités locales…).

– des capacités à mettre en place et à animer des réseaux de commercialisation.

L’originalité du projet

Le projet Réseau Agroécologie Rwanda s’inscrit dans la dynamique actuelle de promotion d’une agriculture résiliente éco et climato-responsable menée mondialement par la FAO et déclinée aux niveaux nationaux.

Le processus et les modalités d’action du projet en font cependant une initiative originale.

Par :

– son échelle, le Rwanda et ses régions ;

– l’articulation qu’il opère entre les étapes d’intervention qui se complètent et se renforcent ;

– ses modalités d’action qui nouent mise en réseau, production de ressources (techniques et humaines) et renforcement des compétences ;

le projet Réseau Agroécologie Rwanda permettra à la fois la constitution d’une « base de ressources » partagée :

– informations sur les techniques et les pratiques adaptées ;

– personnes-ressources pouvant être contactées ;

– expériences de terrains pouvant être visitées ;

et la mise en œuvre d’une dynamique d’échanges et de coopérations locales et à l’échelle du pays.

Les enjeux de l’action à mener

L’État rwandais affiche une « vision » claire et ambitieuse de l’avenir (Economic Development Poverty Reduction Strategy ou EDPRS I 2007-2012, EDPRS II 2012-2018, PSTA 4 2018-2024, REMA Strategic Plan 2022-2026…) ainsi qu’un programme explicite de « modernisation » agricole souvent présenté comme un exemple régional et continental de réussite et un modèle de développement.

Les réformes entreprises depuis les années 2000 ont permis d’indéniables avancées, mais de nombreux défis restent posés. En effet, les techniques de culture conventionnelles atteignent leurs limites ou s’avèrent parfois contre-productives quand certaines terres jusque-là cultivées sont abandonnées du fait de l’épuisement des sols.

Or, l’augmentation de la population rwandaise contraint à développer une intensification de la productivité par unité de surface cultivée sans nuire au milieu écologique. Constituer un pôle de ressources à partir des expériences agroécologiques menées au Rwanda montrant qu’un tel défi peut être relevé s’avère donc un enjeu majeur.

Un pôle de ressources — Dans un contexte où les pratiques agroécologiques s’avèrent être une solution majeure pour faire face à la fois à l’épuisement des sols, la dégradation des cycles de l’eau, l’alternance de conditions extrêmes (sécheresses, inondations)…, l’enjeu du projet Réseau Agroécologie Rwanda est de permettre la constitution d’un pôle de ressources humaines, documentaires et pratiques :

– adapté aux contextes naturels et sociaux locaux ;

– disponible et mobilisable à l’échelle du Rwanda ;

– utilisable dans des contextes identiques et dans les régions limitrophes ;

Une dynamique de renforcement des compétences — Le renforcement des compétences et l’amélioration des techniques agricoles et d’élevage sont des enjeux majeurs au Rwanda, où 80 % des ménages vivent de l’agriculture sur de petites surfaces.

Les techniques et pratiques promues par l’agroécologie semblent donc particulièrement indiquées au contexte rwandais.

Le projet Réseau Agroécologie Rwanda entend ainsi participer à la diffusion de ces dernières :

– par la constitution d’une base documentaire accessible et adaptée aux modalités d’apprentissage des personnes ;

– par la formation de pair-à-pair ;

Un réseau d’entraide à la réalisation des projets — Les modalités de structuration et les processus administratifs et légaux sont difficilement accessibles aux paysans.

Le projet, qui favorise les échanges d’expériences et de compétences et promeut la mise en place d’activités et de services collectifs, vise à renforcer les acteurs ayant entamé la transition agroécologique pour mener à bien leurs projets.

Faire partie d’un réseau facilite l’évolution des pratiques et minimise les risques qui y sont associés :

– par la mise en relation des paysans faisant face à des problématiques communes ;

– par la mutualisation de certains outils, de moyens de transformation, conservation, commercialisation…

– par le partage, le prêt ou la vente de semences adaptées aux conditions locales.

Une reconnaissance des acteurs de l’agroécologie et de la valeur de leurs pratiques — La valorisation tant sociale qu’économique de l’agroécologie et des personnes qui s’engagent dans la voie d’une agriculture régénératrice est essentielle à la durabilité des projets mis en œuvre.

Cette reconnaissance passe :

– par l’identification des personnes engagées dans cette transition auprès de la communauté, des clients, des autorités locales ;

– par la reconnaissance des performances, de la qualité des produits et des services écosystémiques rendus (séquestration de carbone, préservation de la ressource en eau, restauration des sols, contribution à la biodiversité…).


Soutenir ce projet

L’équipe d’ISI  invite ainsi

— les particuliers et collectifs intéressés par l’application ou la diffusion de méthodes et techniques issues de l’agriculture naturelle ou biologique, de l’agroécologie ou de la permaculture ;

— les acteurs investis dans des initiatives agricoles de ce type ;

— les institutions et les organisations soutenant la transition agroécologique et promouvant une agriculture durable et respectueuse des sols et de l’environnement ;

à s’investir dans la création du Réseau Agroécologie Rwanda. 

Vous pouvez participer à sa création et à sa structuration :

— en informant d’autres personnes de la mise en oeuvre de ce projet de Réseau Agroécologie Rwanda ;

— en vous impliquant dans son animation et son développement ;

— en contribuant au financement de cette initiative.

La réussite d’un tel projet dépendant des synergies qui seront mobilisées, nous appelons toutes les actrices et tous les acteurs intéressés par le développement d’un tel réseau à nous contacter – etudes@interculturelles.org – et à s’impliquer dans sa création.

La réalisation d’un tel projet implique également qu’il puisse réunir les ressources nécessaires: nous invitons donc également toutes les organisations et institutions intéressées par cette initiative à la soutenir financièrement.

ISI – Initiatives et Solutions Interculturelles héberge le projet – www.agroecologie.interculturelles.org – dont le bureau d’étude rwandais Inter-Culturel est le maître d’œuvre sur le terrain. 

Elle  se charge d’organiser la recherche de son  financement comme la gestion des fonds réunis.

Nous contacter pour participer au financement de ce projet ou demander les documents de cadrage : etudes@interculturelles.org

Partenaires

Bureau d’étude Inter-Culturel, groupe Permaculture Rwanda

Notre engagement

Financement et gestion des fonds alloués au projet mis en oeuvre par notre partenaire, Inter-Culturel.

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